De 1951 à 1963, de son retour en France à son installation définitive à Paris, Jacqueline entreprend de nombreuses recherches picturales. Elle fréquente les cours de la Grande Chaumière, peint des tableaux plus figuratifs inspirés par les formes de Picasso et les couleurs de Matisse.
Elle exécute de nombreux dessins à l’encre de Chine. Les nus, l’atelier de la rue Gay Lussac et de la Grande Chaumière, des portraits de sa fille Aube et des natures mortes sont ses sujets de prédilection. Mais c’est à partir de 1960, lors de ses séjours à Cannes sur la Côte d’Azur et dans les villages de Biot, Sainte-Agnès que son style s’affirme.